Page : Précédente 1 2 3 ... 5 6 7 8 9 Suivante |
Désinscrit |
#
Posté le 20/07/2012 à 13:18 |
|
Reprise du dernier message de la page précédente : Console toi : j'ai rigolé ! |
Roro83 |
#
Posté le 20/07/2012 à 14:00 |
|
|
Désinscrit |
#
Posté le 20/07/2012 à 14:08 |
|
Le journal de la torture -Hors série :
Le dossier sur les tortures spéciales au moyen age .
La Torture au Moyen Age
Il était affreux qu'on admît toutefois le recours à la torture pour extorquer des confessions aux sorcières. Plus affreux encore qu'on les y soumit à plusieurs reprises quand elles rétractaient leurs aveux et qu'on leur promît des remises de peine qu'on savait ne pas devoir tenir. Parmi les méthodes les plus usitées, citons : la chaise à clous, l'élongation, l'estrapade, les garrots, l'immersion, les fers brûlants, les rouleaux à épines, les tourniquets, les brodequins, le plomb fondu et l'eau bouillante.
La question préparatoire
On effrayait l'accusé en lui expliquant le maniement des différents instruments de torture, puis on fouettait et on le torturait avec des cordes serrées.
Question définitive ou Torture finale
Ici le sadisme et la variété se donnaient libre cours. On subdivisait parfois en ordinaire (estrapade) et extraordinaire (dislocation des membres). Tout cela sans exclure des tortures traditionnelles ( arrachage des chairs avec des pinces rougies).
Wilhelm Pressel, dans son livre "Hexen und Hexenmeister", imprimé à Stuttgart en 1860 nous livre le rapport du premier jour de torture, d'une femme accusée de sorcellerie à Prossneck (Allemagne), en 1629 :
Le bourreau lui lie les mains, lui coupe les cheveux et la place sur l'échelle. Il lui jette de l'alcool sur la tête et y met le feu pour brûler la chevelure jusqu'aux racines.
Il lui place des morceaux de soufre sous les bras et autour du cou, et les enflamme.
Il lui lie les mains derrière le dos et l'élève jusqu'au plafond.
Là, il la laisse suspendue pendant trois ou quatre heures jusqu'au petit déjeuner.
A son retour, il lui asperge le dos d'alcool et y met le feu.
Il lui attache de très lourds poids au corps et l'élève à nouveau. Après cela, il lui place le dos contre une planche hérissée de pointes acérées et la remonte une fois de plus jusqu'au plafond.
Il lui comprime alors les pouces et les gros orteils dans les vis et lui frappe les bras avec un bâton. Il la laisse ainsi suspendue pendant un quart d'heure jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse.
Puis il lui presse les mollets et les jambes à la vis.
Il la fouette ensuite avec un fouet conditionné pour la faire saigner.
A nouveau, il lui place pouce et gros orteils dans les vis, de six à treize heures, pendant qu'il va manger un peu avec les officiels de la cour. Le lendemain, ils reprirent mais sans pousser les choses aussi loin que le jour précédent ...
Mémoires de William Lithgow
Je fus mis tout nu et porté sur le chevalet (il s'agissait d'un chevalet vertical posé contre le mur) où l'on me suspendit avec deux petites cordes. Etant hissé à la hauteur voulue, mon bourreau tira mes jambes de chaque côté du chevalet, attacha une corde sur chacune de mes chevilles et tira les cordes ensuite vers le haut, obligeant mes genoux à toucher les deux planches jusqu'à ce qu'éclatent mes jarrets. Je fus ainsi pendu pendant plus d'une heure. Ensuite mon bourreau plaçant mon bras droit au dessus du gauche enroula sept fois de suite une corde autour des deux bras et se tenant sur le dos raidissant ses pieds contre mon ventre, tira de telle sorte les cordes qu'il me coupa les tendons des bras et mis mes os à nu si bien que je fus estropié pour le reste de mes jours.
Alors mes yeux commencèrent à sortir, ma bouche se mit à mousser et à écumer, et mes dents à remuer comme des baguettes de tambours. Mais en dépit de mes lèvres tremblantes, de mes soupirs, du sang jaillissant de mes bras, de mes tendons brisés, de mes jarrets et de mes genoux, ils continuèrent à frapper ma figure avec des gourdins pour arrêter mes cris de terreur. Ils me disaient sans cesse : Avoue, avoue, avoue à temps pour éviter d'horribles tourments Mais je ne pouvais que répondre: Je suis innocent, O Jésus ayez pitié de moi !
Alors mon corps tremblant fut porté sur un chevalet plat, ma tête pendante placée dans un trou circulaire, mon ventre en l'air, mes bras et pieds ligotés, car je devais endurer mes pires supplices. Ensuite des cordes furent passées sur le gras de mes jambes, le milieu de mes cuisses et de mes bras, et ces cordes furent attachées à mes chevilles. Je souffris sept tortures, chaque torture consistant en une torsion complète des chevilles. Alors le bourreau prit un pot plein d'eau dont le fond troué légèrement fut placé près de ma bouche.
Au début, je l'acceptai avec joie, car je souffrais d'une soif écorchante et n'avais rien bu depuis trois jours. Mais lorsque je vis qu'il essayait de me forcer à boire, je fermai les lèvres. Ensuite on m'écarta les dents avec une paire de pinces en fer. Bientôt mon ventre commença à grogner terriblement à la manière d'un tambour, je ressentis une peine suffocante avec ma tête penchée vers le sol, l'eau regorgeant dans ma gorge, étranglant et arrêtant ma respiration.
Je demeurai six heures sur ce chevalet et entre chaque application de la torture, on me questionnait pendant une demi heure, chaque demi heure me paraissant un enfer. Vers dix ce soir là, ils m'avaient infligé soixante tortures diverses et continuèrent encore une demi heure bien que mon corps fut couvert de sang, que je fusse percé de part en part, que mes os fussent broyés ou meurtris et en dépit de mes hurlements, de mes lèvres et du grincement de mes dents. Aucun homme, je le jure, ne pourrait concevoir les peines que j'ai endurées ni l'anxiété de mon esprit.
Quand ils m'arrachèrent du chevalet l'eau jaillit de ma bouche. Ils mirent des fers sur mes jambes brisées et je fus reconduit dans mon donjon. Chaque jour on me menaçait de tortures nouvelles si je refusais d'avouer. Le gouverneur ordonna que toute la vermine de la cellule soit balayée et placée sur mon corps nu ce que me fit souffrir mille morts. Mais le guichetier venait me voir en secret, enlevait la vermine et la brûlait en tas avec de l'huile, sans cela elle m'aurait entièrement mangé et dévoré.
La peste et erreur des sorciers, devins et invocateurs des démons revêt, en diverses provinces et régions, des formes nombreuses et variées en rapport avec les multiples inventions et les fausses et vaines imaginations de ces gens superstitieux qui prennent en considération les esprits d'erreur et les doctrines démoniaques.
Interrogatoire des sorciers, devins et invocateurs des démons.
Au sorcier, devin et invocateur des démons inculpé, on demandera la nature et le nombre des sortilèges, divinations ou invocations qu'il connaît, et qui les lui a enseignés. Item, on descendra dans les détails, prenant garde à la qualité et condition des personnes, car les interrogatoires ne doivent pas être les mêmes pour tous. Autre sera celui d'un homme, autre celui sera d'une femme.
On pourra poser à l'inculpé les questions suivantes :
Que sait-il, qu'a-t-il appris, à quelles pratiques s'est-il livré à propos d'enfants victimes d'un sort et à désensorceler ?
Item, à propos des âmes perdues ou damnées ;
Item, à propos des voleurs à incarcérer ;
Item, à propos d'accord ou le désaccord entre époux ;
Item, à propos de la fécondation des stériles ;
Item, à propos de substances que les sorciers font absorber : poils, ongles et autres ;
Item, à propos de la condition des âmes des défunts ;
Item, à propos de prédictions d'événements à venir ;
Item, à propos des fées qui portent bonheur ou, dit on, courent la nuit ;
Item, à propos des enchantements et conjurations au moyen d'incantations, de fruits, de plantes, de cordes etc ... ;
Item, à qui les a-t-il enseignées ? de qui les tient-il ? qui les lui a apprises ?
Item, que sait il de la guérison des maladies au moyen de conjurations ou d'incantations ?
Item, que sait il de cette façon de récolter les plantes, à genoux, face à l'orient, et en récitant l'oraison dominicale ?
Item, qu'en est il de ces pèlerinages, messes, offrandes de cierges et distributions d'aumônes qu'imposent les sorciers ?
Item, comment fait on pour découvrir les vols et connaître les choses occultes ?
Item, on fera notamment porter l'enquête sur ces pratiques qui sentent une superstition
quelconque, l'irrespect, l'injure vis-à-vis des sacrements de l'Eglise, en particulier du sacrement du corps du Christ, vis-à-vis du culte divin et des lieux consacrés.
Item, on s'enquerra de cette pratique qui consiste à conserver l'eucharistie, à dérober aux églises le chrême ou l'huile sainte ;
Item, de celle qui consiste à baptiser des images de cire ou autres : on demandera la manière de les baptiser, quel usage on en fait et quels avantages on en retire.
Item, on interrogera le prévenu sur les images de plomb que fabriquent les sorciers : mode de fabrication et emploi;
Item, on lui demandera de ce qui il tient tous ces renseignements ;
Item, depuis combien de temps il a commencé à user de telles pratiques ;
Item, quelles personnes et combien sont venues lui demander des consultations, en particulier pendant l'année en cours ;
Item, lui a-t-on antérieurement défendu de se livrer à de telles pratiques ? qui lui a fait cette défense ? a-t-il promis de ne plus se livrer à ces pratiques et de n'en plus user désormais ?
Item, a-t-il récidivé malgré cette promesse et abjuration ?
Item, croyait-il à la réalité de ce que les autres lui enseignaient ?
Item, quels bienfaits, présents ou récompenses a-t-il reçus pour ses services ?
|
Désinscrit |
#
Posté le 20/07/2012 à 14:11 |
|
Le journal de la sorcellerie :
La lycanthropie :
L'antiquité comme le moyen âge, a cru avec une bonne foi singulière à la lycanthropie. Hérodote en parle comme d'un fait avéré ; Virgile en parle également, et dans sa huitième églogue, il fait dire à Alphésibée :
J'ai vu Moeris se faire loup et s'enfoncer dans les bois. Au moyen âge, on vit les lycanthropes, devenus loups garous, jeter l'épouvante dans les villes et dans les campagnes. Les sorciers opéraient cette métamorphose sur leurs ennemis, mais le plus souvent, ils opéraient cette métamorphose sur eux mêmes, et sous cette forme nouvelle ils attaquaient, non seulement les troupeaux, mais encore les hommes, dont ils dévoraient la chair saignante ; ils pouvaient toujours, quand ils le voulaient, reprendre leur première forme, mais quand, par hasard, ils avaient reçu en se trouvant à l'état de loup, une blessure qui les avait privés d'un membre, ils gardaient, en redevenant hommes, l'empreinte de cette mutilation, et c'est par là que l'on parvenait souvent à les reconnaître.
L'un des démonologues les plus connus, Boguet, raconte que, dans les montagnes de l'auvergne, un chasseur fut un jour attaqué par un loup énorme, auquel, en se défendant, il coupa les patte droite. L'animal ainsi mutilé s'enfuit en boitant sur trois pattes, et le chasseur se rendit dans un château voisin pour demander l'hospitalité au gentilhomme qui l'habitait ; celui ci, en l'apercevant, s'enquit s'il avait fait bonne chasse. Pour répondre à cette question, il voulut tirer de sa gibecière la patte qu'il venait de couper au loup qui l'avait attqué, mais quelle ne fut pas sa surprise, en trouvant au lieu d'une patte , une main et à l'un des doigts un anneau que le gentilhomme reconnût pour être celui de sa femme. Il se rendit immédiatement auprès d'elle, et la trouva blessée et cachant son avant bras droit. Ce bras n'avait plus de main, on y rajusta celle que le chasseur avait rapportée, et force fut à cette malheureuse d'avouer que c'etait bien elle qui sous la forme d'un loup avait attaquée le chasseur. Le gentilhomme qui ne se souciait pas de garder une telle compagne la livra à la justice, et elle fut brûlée ... Selon Collin de Plancy dans son dictionnaire infernal, les loups garous étaient fort communs dans le poitou ; on les y appelait la bête bigourne qui court la galipode. Quand les bonnes gens entendent, dans les rues, les hurlements épouvantables du loup garou, ce qui n'arrive qu'au milieu de la nuit, ils se gardent bien de mettre la tête à la fenêtre, parce que s'ils avaient cette témérité, ils ne manqueraient pas d'avoir le cou tordu. On assure dans cette province qu'on peut forcer le loup garou à quitter sa forme d'emprunt, en lui donnant un coup de fourche entre les deux yeux. Delancre assure qu'ils étranglent les chiens et les enfants ; qu'ils mangent de bon appétit ; qu'ils marchent à quatre pattes, et qu'ils hurlent comme de vrais loups, avec de grandes gueules, des yeux étincelants et des dents crochues. Bodin raconte qu'on vit en 1542, 150 loups garous sur une place publique à Constantinople. |
aureldu85 |
#
Posté le 20/07/2012 à 14:15 |
|
Un homme, fort musclé et athlétique, est en train de faire des longueurs dans une piscine, lorsqu'il s'aperçoit qu'il se fait rattraper par un gosse, qui a 8 ou 9 ans tout au plus.
L'athlète redouble d'efforts, mais le gosse le rattrape tout de même!!!
A la fin, il décide d'abandonner et va discuter avec l'enfant:
"Dis-moi, tu nages très vite et très bien pour ton âge!
- Merci, c'est mon Papa qui m'a appris!
- Ah bon? Et ça fait longtemps?
- Oui, il a commencé à m'apprendre lorsque j'avais 3 ans, et depuis il m'entraîne régulièrement chaque année.
- Et c'est quoi, sa technique?
- Et bien, il m'emmène à la mer, il va à environ 3 km de la plage en bateau, il me jette à l'eau, et je dois revenir tout seul.
- Ah, je comprend, mais ça doit être très difficile!
- Ben en fait, le plus dur, c'est de sortir du sac..." |
aureldu85 |
#
Posté le 20/07/2012 à 14:17 |
|
[EDIT]Il y a des limites aux blagues et celle-ci aussi est de très mauvais goût.
Faites un peu attention à ne pas dépasser les bornes
Lilith[/EDIT]Message édité le 21/07/2012 à 01:01 par Lilith_delete |
Désinscrit |
#
Posté le 20/07/2012 à 14:26 |
|
Top marrant . |
aureldu85 |
#
Posté le 20/07/2012 à 14:31 |
|
C'est une sage femme qui se rend chez le boucher: "Bonjour, je voudrais 450 g de petite saucisse SVP.
- Bien sur Madame."
Et le boucher coupe un morceau qui pèse pile poil 450g.
"Un coup de chance...
- Oh non, juste 30 ans de métier, Madame."
Elle se dit, je vais l'avoir et elle demande 225 g de pâté de tête. Et le boucher lui coupe un morceau de 225g.
"Vous voyez que ce n'est pas un coup de chance!"
Quand tout à coup, on crie à l'aide car une femme est en train d'accoucher dans la rue, sur le trottoir. La sage femme accourt et met au monde un petit bébé: "3,800 kg, dit-elle.
- Ah non, 3,700 kg répond le boucher.
- Écoutez, c'est mon métier, donc 3,800 kg."
Pour être fixé, le boucher demande à son apprenti qui s'appelle Marcel de prendre le bébé et d'aller le peser.
"2,300 kg!", clame notre Marcel.
Le boucher et la sage-femme sont tout deux étonnés de se tromper d'autant: "Tu en es sûr, Marcel?
- Ah oui, 2,300 kg, vidé et désossé!"
|
Roro83 |
#
Posté le 20/07/2012 à 14:31 |
|
|
Désinscrit |
#
Posté le 20/07/2012 à 15:00 |
|
|
Désinscrit |
#
Posté le 20/07/2012 à 15:42 |
|
Oh pauvre gamin. |
Page : Précédente 1 2 3 ... 5 6 7 8 9 Suivante |